Après une année 2016 relativement sèche, les premiers mois de l’année 2017 apportèrent les précipitations nécessaires au bon équilibre des nappes phréatiques. Les températures n’avaient pas été particulièrement froides en hiver. La vigne débourra autour du 4 avril, mais nous ne nous sommes pas suffisamment méfiés des températures printanières, de sorte que les nuits de gel des 27 et 28 avril vinrent nous rappeler que nous dépendions d’abord de la nature dans nos terroirs. L’emplacement privilégié de nos parcelles nous a cependant permis de limiter les dégâts de ce gel. Seulement 10% de nos parcelles de rouge furent touchées.